lundi 26 mars 2012

TEAM ONE - Episode 29

[Les cinq paragraphes ci-dessous appartiennent à cinq feuilletons distincts. Ces cinq paragraphes ne se suivent pas - mais font suite aux précédents épisodes des mêmes auteurs.]


(Suite de l’histoire n°1) “Chez ses cousins, l’atmosphère était électrique. Des nouvelles confuses parvenaient des quatre coins du pays. Il semblait que le gouvernement avait commencé à cataloguer ses citoyens hébraïques. Dans quel but ? Pour l’instant, on l’ignorait, mais David commençait à se demander s’il ne ferait pas mieux de s’en aller avec sa famille et ses biens, pour ne pas se faire surprendre, un jour, pendant son sommeil. Salomon, débarquant au milieu de tout cela, n’osait pas mettre sur le tapis l’histoire de Hershe, qui lui semblait quelque peu dérisoire par rapport à ces préoccupations familiales. ” (Alice Bé)


(Suite de l’histoire n°2) “Monsieur Sheep s’arrêta, comme frappé par la foudre, et regarda Heisenberg. Sheep avait voyagé et, malgré la très haute estime en laquelle il se tenait lui-même, estime inversement proportionnelle à celle qu’il avait pour autrui, ils sentait que la carte de visite, le manoir, tout cela avait intrigué l’ancien gendarme au point de l’amener ici - mais ne le retiendrait pas plus longtemps. Il regretta pourtant de ne pouvoir conférencer juste quelques minutes de plus, l’occasion était si rare, et il avait tant à dire. Mais, contrairement à d’autres prisonniers d’un instant, qui consentaientt à souffrir ses péroraisons, pourvu que lui souffrît qu’ils dormassent, bercés par le flux tiède de sa voix, Heisenberg pouvait partir, et Sheep ne reverrait jamais, en ce cas, son trésor.” (David M.)


(Suite de l’histoire n°3) “Il me répond : "Locus, tu ne le trouves pas, c'est lui qui te trouve. Il va trop vite, il se déplace constamment. C'est impossible de savoir où il est ou comment le joindre. Moi, je n'ai pas de numéro de téléphone, je n'ai pas d'adresse, je n'ai aucun renseignement à son sujet. De fait, il est apparu comme ça un matin, il a sonné chez moi alors que je dormais encore. Il m'a dit que tu viendrais bientôt me voir, que tu me poserais des questions à ton sujet. Tu vois bien, il savait déjà tout."
– Il t'a dit pourquoi je voulais te parler ?
– Non, répond Boulier, simplement que tu voudrais le voir. Il ne m'a pas dit pourquoi.
– Et c'est tout, il ne t'a rien dit de plus ?
– Si. Il m'a encore dit de te dire : "On se retrouvera sur le pont, à cinq heures."
Boulier et moi parlons encore quelques minutes, mais quant à moi je ne le fais que pour ne pas être impoli. Dès que possible, je lui dis au revoir et je rentre chez moi.” (FG)


(Suite de l’histoire n°4) “— On dirait qu’il s’est évanoui », murmura Antoine.
Il replia sa longue silhouette auprès de celle de l'autre géant et palpa du côté de sa blessure.
« Ça a saigné un peu… Allume la lumière… »
Coralie s’en fut du côté de l’interrupteur et l’électricité grésilla bientôt dans le filament de l’ampoule.
« Eh bien, tu n’y es pas allé de main morte, constata-t-elle en voyant la tâche sombre sous la chemise.
— Ça a dû frotter… Je ne pensais pas pouvoir vraiment le blesser avec ce petit truc…
— Oh… Et toi ? Tu es salement amoché aussi… »
Son arcade sourcilière était défoncée et une poche bleutée couvrait quasiment l’œil gauche. Mais Antoine Longin en avait vues d’autres, des bagarres, un globe trotter comme lui. À Colombo, il s’était fait rosser par de louches intermédiaires qu’il avait essayé d’entourlouper sur la vente de splendides saphirs ; à Karachi, on lui avait coupé deux doigts pour deux émeraudes ; au Liberia, il s’était fait arracher plusieurs dents pour des diamants.
« Alors un bleu… penses-tu..., grimaça-t-il virilement.” (Louis Butin)


(Suite de l’histoire n°5) “***

ai ! jvou parl ssaipa trai fassile dekssplikai makonssepssion dumond aila raizon pour lakel jinterviain dan ledesstain daijan on peu dir ke jeu sui kom unnsortt deupon antr laichozvuainonvu antanduainonantandu reussantiainonreussanti ankelkeusortt ainaisspri unaitainssel vital ankor kilparai souvan ojan keujeu leurportt maleur sseuki mafoi ai biain possibl silon konsidair leupeu deugou kilzon pour lavairitai ssaijan meuvoi danleur ssomaiye ailorkilseu raivaye iltrambl ilfairm laizieu ssachan kilzon vu ofon deumaim ssaijan jeukroi on peur daitainaibr on peur dusilanss on peur deulamor sseuki amonsans neussaplik pahamai visitt sse nai pa ssakeu jeudi jeudi ojan reugardai danvo tainaibr aivou vairai jeuneu di paklair mai louin vou kompreunai ? louin

***” (Dragon Ash)